Candaulisme : une pratique sexuelle tendance et à la mode

C'est un fétiche avec plusieurs siècles d'histoire. Le phénomène du 'voyeur' est toujours d'actualité et maintenant, avec les réseaux sociaux, c'est déjà un succès dans la moitié du monde Cette question perverse et effrayante répond à une nouvelle tendance sexuelle au sein de la communauté virtuelle. Aussi bien sur Tinder que sur Reddit , le terme « candaulisme » devient populaire, une tendance fétichiste qui consiste à lancer des compliments à la femme d'une autre, à l'espionner ou à voir ses photos intimes, dans le but de stimuler sexuellement son mari ou son partenaire. Ce n'est pas quelque chose de nouveau ou le résultat de la dérive du temps. Curieusement, c'est une pratique avec des siècles d'histoire qui est représentée dans les peintures et illustrations d'artistes tels que William Etty ou Eugène Delacroix. A cette époque, il s'agissait de maris organisant des fêtes à la maison avec leurs amis pour espionner leurs femmes respectives pendant qu'ils prenaient un bain ou changeaient de vêtements. De nos jours, le candaulisme semble être sorti du format cadre pour s'installer sur le net.

Est-ce qu’il y a des avantages ?

L'avantage du candaulisme est que chacun des membres du couple est conscient de ce que fait l'autre et ne se trompe pas si je décide que je prête ma femme en bonne conscience. Si l'un des deux veut entretenir des relations avec des tiers, le couple est au courant de ce fait et, en plus, est présent lors de l'acte. Le mot infidélité n'a pas, on le voit, sa place dans ce type de relation. Tout ou presque dans cette vie est légitime si la décision vient d'un commun accord et qu'il y a consensus des deux côtés. Donc, si vous en avez vraiment envie, choisissez si ce que vous voulez, c'est regarder... ou être regardé. Désormais, c’est devenue une pratique tendance, et il y a même des plateformes comme jepretemafemme.com qui traite le sujet, tout en permettant aux couples de s’initier à cette expérience.

M'abonner aux flux Mc sex sur mc-sex.eu.